Helloween revient en force avec cet album. La sonorité est en pleine face et c’est un méchant coup de poing lorsque vous entendez la chanson « Push » la première fois. Le groupe est de retour avec un...
Wow! J'étais déjà au courant que le vieux matériel d'Angel Dust était bien différent des albums plus récents, j'avais souvent entendus dire "Oh c'est beaucoup plus du vieux trash...
01. Sounds Of A Playground Fading
02. Deliver Us
03. All For Me
04. The Puzzle
05. Fear Is The Weakness
06. Where The Dead Ships Dwell
07. The Attic
08. Darker Times
09. Ropes
10. Enter Tragedy
11. Jester’s Door
12. A New Dawn
13. Liberation
Il est évident que ce groupe n’est plus ce qu’il était et ne le sera plus! Les membres du groupe en sont conscients, ils sont rendus ailleurs dans leur cheminement professionnel, et ce dernier implique un peu plus de douceur dans la sonorité. Quoi qu’il en soit, cette nouvelle galette d’In Flames me plait beaucoup, c’est ma préférée depuis les années « post-Nuclear Blast » car il demeure que l’on retrouve de bonnes chansons sur ce disque, qui est la première création du groupe depuis le départ de Jesper Strömblad, guitariste et membre fondateur.
En ouverture, la pièce titre met bien la table. Ce sera un album assez lourd, mélodique et la voix d’Anders Fridén sera exploitée comme un véritable instrument au lieu de boucher les trous. Le premier extrait de l’album, Deliver Us est une chanson pimpante avec sa rythmique énergique et surtout, son refrain mémorable et de l’avoir comme deuxième piste, nous sommes sur la bonne voie.
Le véritable coup de massue sonore et métallo-mélancolique est avec la pièce Where the Dead Ships Dwell qui comporte tout ce que l’on aime d’In Flames depuis les dernières années ; intro électronique qui se fond avec une trame de percussion qui accompagne la batterie, une base lourde aux guitares, Fridén en mode plutôt rauque mais harmonieux qui prend tout son sens lors du refrain ! Et le riff de cette chanson te reste dans la tête, et ce pour longtemps ! Fear is the Weakness propose une ligne de claviers qui rappelle étrangement Soilwork pour ensuite se diriger vers des harmonies de guitares qui effleure le métal traditionnel pour retomber avec la touche habituelle d’In Flames.
Sur cette collection de 13 chansons, il n’y a que la chanson qui clôt l’album, Liberation, qui est trop à l’eau de rose malgré un refrain hyper accrocheur. Cette chanson, de type ballodo-rock, n’est jamais une valeur sûre quant à moi, sur un album d’In Flames mais il y a un public qui doit apprécier car on en retrouve de plus en plus, et ce, depuis quelques albums.
Sounds of a Playground Fading devrait être un incontournable pour les nouveaux amateurs du groupe, un album plus qu’acceptable pour les inconditionnels et une risée pour ceux qui ont cessé de suivre le groupe après Clayman !
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