Voyager est né en tant qu’un groupe moderne de Rock progressif. L’idée principale était d’essayer de trouver de nouvelles solutions musicales en utilisant un mélange de compositions symphoniques avec des styles plus traditionnels. Il n’y a pas de limite en ce qui concerne l’expression musicale ou la forme dans la création de chansons, le groupe ne suit pas des plans pré arrangés, il en est de même pour le rythme ( qui est pour la plupart du temps libre et irrégulier), même chose pour la structure qui ne peut pas être divisée en subdivisions classiques comme les couplets ou les refrains. Leur musique et inspirée par les plus grands Maestros du symphonique et du Rock progressif mais pas en ce qui concerne la forme et la sonorité. Ils aiment les riches textures harmoniques du côté du symphonique et l’idée d’essayer de trouver de nouvelles manières par la fusion de la musique Rock traditionnelle avec d’autres styles comme le Latin américain et l’ethnique mais, par-dessus tout, sa ne doit pas être une autocélébration des musiciens par des effets de virtuosité et de pyrotechnie. Chaque chanson ou une partie d’elle-même exprime un concept qui est caché dans la musique elle-même et très souvent la seule suggestion de la bonne interprétation est donnée par le titre. Comme par exemple, la chanson « Zabajone » (Sillabub, Zabaglione) représente une fugue, la poursuite de l’auditeur, qui tente de trouver quelque chose de différent.




Le groupe a été fondé par Roberto et Marco Sanna en avril 95. Il se nommait Killer Brioss et l’idée était de faire un groupe de Rock/Metal progressif comme Dream Theater, Marillon, Genesis etc. Après un moment, Andrea Marongiu c’est joint au groupe et ensuite c’était le tour d’Alessandro Corona ( ils étaient respectivement le batteur et le chanteur de Guernika). Malheureusement, le projet ne c’est jamais mit en marche à cause de beaucoup de changements de claviéristes, batteurs et chanteurs qui ont tous abandonnés en septembre 1997. La prochaine formation était Marco et Robero Sanna ( Basse et Guitare) et Marco Piga (ex-batteur de Koscienza Sporca) avec Giovanni Collu ( clavier), chacun d’eux avait commencé un projet similaire. Après quelques tests, Danilo Mascia (ex chanteur de Slow-Down et Trip Purple) c’est ajouté à la formation pour seulement un mois. Les choses ont bien été pendant quelques temps avant une nouvelle substitution : Andrea Marongiu a été appelé pour remplacer Marco Pigo à la batterie. Une nouvelle politique c’est développée dans le groupe ; plus aucune d’imitations mais la volonté de faire quelque chose de nouveau ( ou, du moins essayer…!). Le premier vrai projet et la période de vrais décisions de Voyager a commencée en avril 1998. Le nom Voyager signifie le désir de la recherche d’émotions musicales ; de voyagé à travers divers sons plus typiques et personnels. Maintenant le groupe cherchait un bon chanteur. Après quelques tests, Mirko Porru est devenu le nouvel interprète et c’est avec lui que Voyager a décidé de participer à Sottosuoni 98. En novembre 98, Mirko quitte le groupe durant le concours. Le groupe a donc décidé de faire un projet instrumental qui a été également présenté à un autre concours, Rock Circus. Malgré l’intérêt démontré par l’audience, le groupe a remarqué qu’un chanteur était requis pour rendre les chansons plus faciles à écouter. Alessio Meloni a passé le test et a commencé automatiquement à écrire de nouvelle chansons. Après l’été, la collaboration c’est terminée et un nouveau chanteur était encore une fois requis. Après quelques tests et une collaboration secrète la forte influence dans la musique et les paroles exprimées par Alessandro Corona a amenés le son plus près de la musique latine, donc le groupe a arrangé leurs chansons de cette façon. 52 et La Danza delle molle sont maintenant prêtes à être jouées dans une séance en publique à un endroit nommé Garage. Même si tout allait bien, Andrea Marongiu a décidé de quitter le groupe. En mai 2000, Sergio Mattana (Sandro Giacobbe, Branko, Rod Sacred, etc…) est devenu le nouveau batteur. Après quelques années et plusieurs substitutions l’idée originale a changée mais la volonté est toujours la même : trouver un chemin entre celui tracé par les grands « maestri » tout en gardant et valorisant d’une façon moderne le style latin américain.