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 Groupe: Gamma Ray
 Album: Land Of The Free (1995)
Note:
8.9/10
Style : Power Metal

Compagnie : Noise Records

Format : CD

Liste des pistes :

01. Rebellion In Dreamland 
02. Man On A Mission 
03. Fairytale 
04. All Of The Damned 
05. Rising Of The Damned 
06. Gods Of Deliverance 
07. Farewell 
08. Salvation's Calling 
09. Land Of The Free 
10. The Saviour 
11. Abyss Of The Void 
12. Time To Break Free 
13. Afterlife 
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 Auteur : Nexorak
 
1995, une bonne année qui allait voir apparaître l’un des plus grands chef-d’œuvres du mouvement Power Metal selon moi, et aussi l’avis de bien d’autres fans. Le mouvement speed métal mélodique possède maintenant sa propre appellation depuis environ 1993, le Power Métal. Et quel nom évocateur des beats de rapides, des refrains accrocheurs harmonisés, les solos à la tierce. Le mouvement a évolué depuis ses débuts officiels en 1985 avec la formation Helloween. Mais voilà, le groupe pionnier qui a popularisé le style va très mal. Après les « flops » de Chameleon et Pink Bubbles Go Ape, les fans se posent de sérieuses questions au sujet de leur groupe fétiche. Premièrement, Kai Hansen a quitté le groupe au début des années 90. Ensuite, c’est le tour du chanteur tant acclamé Michael Kiske. Et pour couronner le tout, le suicide du drummeur Ingo Schwichtenberg. Décidément, les choses vont vraiment mal pour le groupe. Certains pensent qu’Helloween ne s’en relèvera pas.


Bien sûr, il y a Gamma Ray, mais seul le premier album parut en 1990 avait repris le flambeau du son Power metal. « Sigh No More », le second album avait eu un succès plutôt mitigé, et avec « Insanity & Genius », le groupe n’avait pas retenu autant l’attention des fans. Il était rapide certes, sauf que la magie ne semblait plus y être. Avec des petites passes de son techno dans leur musique, on se demandait bien où le groupe se dirigeait. Finalement, on apprend que le chanteur Ralph Scheepers fait une audition pour remplacer le chanteur Rob Halford de Judas Priest, ce qui n’est pas pour plaire à Kai Hansen qui en profite pour mettre un terme à son association avec lui. Qui va chanter ? Alors, contre toute attente, Kai Hansen annonce qu’il va reprendre le vocal qu’il avait abandonné après la sortie de l’album « Walls of Jericho » de Helloween. Wow! Bien sûr, on a entendu la voix de M. Hansen sur les albums de Blind Guardian : « Follow the Blind » et aussi « Tales from the twilight world », sauf que les fans en voulaient plus.


Je vous avoue que j’étais loin de me douter d’un retour aussi fort de Gamma Ray. Avec cet album, Kai Hansen démontre une fois pour toute pourquoi il est le grand maître fondateur du Power Metal. (Hail to the King!). « Land of the free » est un smash, un coup de poing en pleine face! Que dis-je, un bloc de béton que l’on vous tire sur la figure et qui vous écrase sous son poids. Héhéhé! Si vous avez à identifier le mouvement Power Metal dans la plus pure de ses formes, alors nul doute que c’est cet album-ci. Si vous avez à démontrer à qui que ce soit; Qu’est-ce que le Power metal ? C’est « Land of the free »! En voyant la pochette avant d’écouter l’album, j’ai revu la figure de la mascotte de « Walls of Jericho » de Helloween dessus. De plus, l’aigle qui vole dans le ciel jaune nous rappelle « Eagle fly free » de « Keeper of the seven keys Part 2. » Oui, Kai Hansen nous annonce ses couleurs et ce que sera le contenu de cet album. Il aurait pu l’appeler « Keeper of the seven keys Part 3. »


La musique, les solos à la tierce, les mélodies accrocheuses, les refrains, tout y est simplement une perfection. Et tant qu’à moi, la chanson « Land of the free » est l’hymne du mouvement Power Metal à vie. Sa mentalité, son essence. Cela représente la fierté de cette musique, la liberté face aux anciens préjugés du heavy metal et cie. Et qui on entend en backvocals dans les refrains de cette chanson ? Nul autre que Michael Kiske. Personne ne croyait au retour de cet incroyable duo sur album. Un petit coup de coude à Michael Weikath ? Peut-être. Néanmoins, tout est bien dosé. Coté sonorité, c’est la norme. Je ne dirais pas que cet album a une sonorité mieux que les autres, il manque peut-être un peu de volume. Mes chansons préférées : Toutes! Bien sûr, je suis un fanatique des chansons rapides alors vous imaginez que « Man on a mission » m’a accroché tout de suite. Ce qui est intéressant, c’est que Michael Kiske chante une chanson complète sur l’album, c’est « Time to break free » et je crois que celle-ci est dédiée à son ancien compatriote Micheal Weikath qui a reproché à Kiske de vouloir changer le groupe Helloween. De plus, il y a la chanson « Afterlife » qui est dédiée au défunt Ingo Schwichtenberg. Et finalement, je voudrais faire remarquer aux fans la seule chose qui m’a déplu sur cet album, c’est le solo de la chanson « Rising of the Damned ». Il y a une partie de ce solo (intro) qui est une quasi copie conforme du solo de « Hotel California » des Eagles, sauf joué plus vite. Je recommande cet album de Power Metal à tous les VRAIS fans de Power. Et j’irai même plus loin, si vous n’avez pas cet album dans votre collection, alors je me demande si vous écoutez le bon style de musique. Courez l’acheter immédiatement! Sans rancune, mes amis. (Et ne me prenez pas trop au pied de la lettre.) Hahaha!


  Note de MU : 9.3/10 Note des Membres : --/10  

 Auteur : Alexis Woodbury
 
Comme on devrait tous le savoir, nous, fans de power, Gamma Ray est le band que Kai Hansen a formé, si vous ne savez pas qui est Kai Hansen, changez d’école.





J’ai cru qu’il était temps que Power Metal Universe ait des critiques de Gamma Ray, donc je m’y mets dès maintenant! Je commence par critiquer Land of the Free, qui est considéré leur meilleur album à vie et qui est aussi le premier avec Kai Hansen au vocal. Vu le départ de Ralf Scheepers, le groupe a changé un peu de direction musicale et de type de vocal aussi, en tout cas, approfondissons l’album.





L’album débute avec une des meilleures chansons de l’album, soit Rebellion in Dreamland. Cette chanson est longue, variée, entraînante et très bien composée, franchement une très bonne chanson dans le style. On y retrouve d’excellentes mélodies et riffs de guitares. Comme je le disais, le rythme est très varié ce qui fait que la chanson coule bien et qu’on ne s’en écoeure pas.





En deuxième on a droit à Man on a Mission, une furie de double bass drum, d’harmonie de guitare à une vitesse folle et à un refrain à faire dresser les poils sur la tête. Cette chanson se mérite facilement une place sur le top 3 de Land of the Free. Ensuite il y a un petit interlude, Fairytale, interlude qui ne dure pas longtemps mais qui est quand même intense et nous amène bien vers la piste suivante. La piste suivante est All of the Damned, elle débute avec une intro de bass, ce qui est plutôt rare dans le style. C’est une autre chanson rapide avec de très belles mélodies, mais elle est un peu moins intense que Man on a Mission, aussi bonne qu’elle soit.





On a droit à une autre interlude pour nous amener à la prochaine chanson, cette fois-ci, c’est une interlude instrumentale et très bien orchestrée. L’album est enchaîné avec Gods of Deliverance, qui commence avec un riff de guitare du tonnerre. Je trouve que cette chanson sonne beaucoup moins power metal que les autres sur l’album, ça nous prouve que ce band sait varier.





La chanson qui suit est une ballade intitulée Farewell. Comme d’habitude, Kai Hansen ne déçoit pas. Cette ballade est très bonne et Kai Hansen fait un excellent bouleau au vocal, surtout si on compare avec Walls of Jericho. Tout de cette ballade est parfait, mélodies tristes, refrain à faire pleurer, très bons arrangements et un changement de rythme vers le milieu de la chanson. Oh j’oubliais presque, il y a même une variation de vocal, ce sera à vous de découvrir qui prend la place de Kai au micro.





Le riff puissant de Salvation’s Calling nous relève vite de nos sentiments éprouvés lors de la ballade. J’ai toujours comparé cette chanson à Gods of Delieverance car elle est moins power metal que les autres. Il n’y a pas de refrain glorieux dans celle là, seulement une chanson qui rock pur et dur et qui comprend un solo de guitare de l’enfer. Maintenant, la chanson titre, soit Land of the Free. Cette chanson mérite son rôle de chanson titre. Elle est bien variée, a un rythme excellent et possiblement le meilleur refrain de l’album ‘’Our return to the land of the free!!’’, je dois avoir fredonné cette mélodie assez souvent dans ma vie sans même m’en rendre compte.





The Savior est la piste suivante, c’est une autre interlude d’environ 0 :50 seconde qui nous amène parfaitement à la piste qui suit. La piste à laquelle l’interlude nous amène est Abyss of the Void, chanson qui débute lentement et dont le rythme part après quelque seconde. C’est la première chanson qui se situe dans le mid-tempo de l’album. Comme chanson suivante, on a Time to Break Free. Elle débute avec un drôle de son de guitare et ensuite elle démarre, comme la plupart des chansons de l’album. L'ex-chanteur d'Helloween, Michael Kiske chante sur cette chanson, mais je ne trouve quand même pas que ça améliore la chanson, je préfère de toute façon la voix de Kai Hansen. Selon moi, Time to Break Free est possiblement la moins bonne piste de l’album, ce n’est pas dans la game avec Land of the Free on Man on a Mission.





Déjà à la fin de l’album, la chanson Afterlife. Celle-ci débute avec un cri de mort de Kai Hansen et varie de rythme au courant de la chanson. Malgré que cette chanson soit bonne, je ne l’adore pas, un peu comme Time to Break Free. Je trouve que cette chanson ne convient pas comme album-closer. Un bon album comme ça aurait du se mériter une meilleure dernière chanson.





Comptes faits, cet album est excellent jusqu’à ce qu’on arrive aux dernières chansons. Je conseille cet album à tout fan d’Helloween ou de metal en général. La production est bonne, le musicianship aussi et la plupart des compos sont excellentes.





Top 3 :

Rebellion in Dreamland

Land of the Free

Man on a Mission



  Note de MU : 8.5/10 Note des Membres : --/10  

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