Pour plusieurs, le nom de Lita Ford évoque les souvenirs des chansons ‘Close My Eyes Forever’ et ‘Kiss Me Deadly’ qui se trouvait sur l’album ‘Lita’, paru en 1988. Lita Ford est maintenant mariée...
Andre Adersen - Paul Laine - David Readman n'est pas ce qu'il y a de plus spectaculaire comme nom d'un projet, sa seule force est de montrer qui en sont les instigateurs. Dans cette formation,...
Avec le dernier album, Mechanize, Dino Cazares nous a prouvé une chose: IL est Fear Factory. Il a modelé ce son qui lui est si spécifique et même quelques années après avoir quitté le bateau, il a su reprendre les rennes et nous enfoncer un album puissant dans les narines comme un cocaïnomane qui se délecte de cette poudre diabolique! Sur cette nouvelle production, le tandem Cazares/Bell reprend là où il avait laissé et vous ne serez pas déçus, oh que non !
En s’associant encore une fois avec Rhys Fulber à la production, on peut pratiquement confirmer qu’il est l’atout magique qui est vraiment utile à chaque occasion, bien ancré dans la manche du groupe. Il sait ce que le groupe veut et le livre avec précision. Un mix de Greg Reely (Skinny Puppy, Paradise Lost et Machine Head) et quelques tracks enregistrées par Logan Madder, l’ancien guitariste de Machine Head, nous confirme que rien n’a été mis de côté pour épater et ainsi, offrir un Fear Factory Version 2012 encore plus précis et brutal.
Précision et agression mécanique sont encore sur ce disque. Ce sont des monuments métalliques, et non de simples riffs, qui sont proposés sur des chansons comme Recharger, Depraved Mind Murder et Difference Engine qui te catapultent des balles de billards drette dans les schnolles ! La guitare possède encore cette sonorité qui rappelle les burins électriques et la voix de Bell demeure fidèle à ce que l’on s’attend : la précision du studio qui ne se retrouve point en mode concert !
La présence de nombreux éléments ambiants, surtout en guise d’introduction, sont omniprésents sur ce disque mais il serait vague d’en parler étant donné qu’ils demeurent dans la faction emballage du disque et non pas du contenu en tant que tel, qui lui est abrasif.
Dissemble est la seule chanson qui me laisse un peu plus avec une baboune car son refrain semble moins bien maitrisé, plus garoché pour finir l’album mettons et plus sauvage si je peux m’exprimer ainsi. De plus, la dernière chanson, Human Augmentation, se veut une outro plutôt langoureuse. C’est le genre de chanson qui tu écoutes la première fois que tu as l’album et que tu oublies par la suite.
Mission encore une fois accomplie pour Fear Factory qui, malgré de nombreux changements de personnel pour des raisons trop louches, demeure un groupe puissant mais pas très solide !
Disponible le 5 juin !
Le groupe sera en concert à Montréal le 18 juillet, cliquez ICI pour les détails!
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