Peu importe l'année que l'on écoute, il y a toujours un groupe qui réussi à attirer notre attention. Pour ma part, Ghost Brigade a créé un incontournable avec l'album "Isolation Songs" en...
Depuis environ 25 ans que j'écoute un style musical particulier, variant du heavy metal, au metal classique, passant à travers le symphonique, le progressif, le gothique etc... Bref, je suis ouvert à...
The Carbon Stampede
Dead Set on Suicide
A Living, Breathing Piece of Defecating Meat
Forced Gender Reassignment
Gristle Licker
Projectile Ovulation
Lifestalker
Do Not Resuscitate
Your Disposal
The Monolith
Kingdom of Tyrants
La troupe de végétariens la plus prolifique de l’univers death métallique américain propose un nouvel album de métal sans pitié, très sanguinaire et vif que le bâtard. Aucun répit tout au long des 11 chansons qui composent ce disque à la pochette surprenante, qui propose un clin d’œil à 2001 Odyssée de l’Espace de Kubrick. Très technique, les pièces s’enchaînent comme les meurtres d’un tueur en série fortement inspiré.
Ce qui étonne avec Monolith of Inhumanity, outre l’inhumanité musicale, est la panoplie de voix offertes sur l’album par Travis Ryan qui change de registre aisément, passant de la gorge aiguë fortement déstabilisante au gras le plus oléagineux possible. Acrobatique mais aucunement hermétique, Travis Ryan innove encore une fois. Mais il y a aussi les nombreuses présences des invités qui prêtent leur talent engorgé comme Mike Majewski de Devourment en plus des vois en chœurs interprétées par des membres et anciens membres de Cephalic Carnage.
Avec l’intensité des chansons à son paroxysme, il demeure que certaines chansons proposent une cadence plus pausée, commeGristle Lickerqui tombe dans un espace plus confiné et Lifestalker qui est bien scindée grâce à une partie habile interprétée à la basse, et qui se verse vers un solo de guitare complètement inattendue supporté par des voix plus apaisantes.Les véritables tueries sur cet album sont Your Disposal, Dead Set On SuicideetA Living, Breathing Piece of Defecating Meat qui génèrent autant d’énergie qu’un barrage électrique d’Hydro-Québec à forte capacité.
Cattle Decapitation n’est pas pour toutes les paires d’oreilles, il faut s’entendre sur le sujet. Il n’y a pas de breakdowns ici ni de passages caramélisés; que la violence la plus brute qui soit pour une formation death métallique.
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