Trop d’influences de
Disturbed et de
Korn pullulent sur cet album. En d’autres mots, l’originalité n’était pas un critère lors de la mise sur pieds de ce groupe qui devrait s’éteindre d’ici peu tellement l’indifférence du public sera au rendez-vous.
Lorsque l’explosion du nu-métal est apparue dans le milieu des années 90, ce groupe se serait retrouvé dans les postes d’écoute des grands disquaires mais en 2012,
Harm va tomber dans l’oubli avec cette collection de rythmiques usées, de cadences utilisées à profusion et qui n’offrent que du vide à l’auditeur moderne.
Les guitares sont musclées mais répétitives, les percussions précises et le chanteur semble tiraillé comme l’était
Jonathan Davis à l’époque de l’album éponyme de
Korn avec sa rage lors de nombreux moments et quelques intonations plus enfantines qui ramènent le leader du groupe vers son enfance troublante.
Avec la quantité de groupes disponibles sur le marché… vous n’avez sérieusement pas le temps de vous attarder à cette formation.
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